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"Peindre c’est souffrir" disait le vieux maître.

Non, pas d’accord. 

Il fallait donc en finir avec ça. Avec lui. Mais le sourire aux lèvres. Cette démesure égotique encombrait ma cave. Je lui ai donc rendue. Littéralement. Mon auto portrait de 2m sur 2m, peint sous ses ordres, (voir même jusqu’à sous son pinceau), fut donc découpé en autant de cartes postales que sa surface le permettait et lui fut envoyé morceau par morceau, semaine après semaine jusqu’à la dernière pièce.

Deux années durant.

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